Je tiens tout d’abord à remercier chaleureusement Johanna Siméant, directrice de cette recherche, à la fois pour les éclairages théoriques et méthodologiques apportés lors de son séminaire «L’extraversion du gouvernement en Afrique», mais également pour sa disponibilité et sa patience lors de la réalisation de ce mémoire. Son aide a été précieuse dans l’évolution de mon questionnement. Merci également à Karine Bennafla pour son aide à toutes les étapes de ce projet.
À Cotonou, je souhaiterais remercier tout particulièrement Gautier Amoussou pour le logement ainsi que pour l’importante aide qu’il m’a apportée au début de mon travail, notamment en terme de contacts et d’introduction dans le petit monde de la conservation béninoise. Que l’équipe d’ÉcoBénin, et particulièrement Constant, soit également remerciés, pour m’avoir fourni un lieu de travail sympathique et plein de bonne humeur à Abomey-Calavi. À Kandi, je tiens à remercier Kindo Gardo d’avoir grandement facilité mes premiers pas dans l’Alibori par son accueil, Théophile Sinadouwirou et l’ensemble de la DPNW pour leur aide technique et pratique, ainsi que pour les moments de détente. Je remercie également Thomas d’Aquin Quenum, les membres de l’APIDA (notamment Baky pour son aide post-terrain) et les deux consultants du CIDR (Karine Lagarde et Patrick Smith) pour leur aide et leur sympathie. À Banikoara, je remercie vivement Julien Chevillot et Moussa Bio Nigan pour la possibilité de loger au cœur même de mon terrain, au campement de Koudou. Je remercie beaucoup Sio pour m’avoir assistée dans mes recherches, au niveau de la traduction du Bariba et de la motorisation. À Karimama, je tiens à remercier Zoubirou pour sa patience dans la traduction de mes entretiens réalisés en Dendi, ainsi que pour les nombreux kilomètres qu’il m’a aidé à parcourir entre les villages de la Commune.